A la moindre alerte,
à la moindre idée de pouvoir manquer de,
c'est la ruée vers, la course, la lutte pour,
marques d'un héritage lourd à porter mais aussi
signes patents d'un manque de maturité et de spiritualité:
c'est toujours le même enjeu, incontournable:
la peur de sa mort, la peur de sa souffrance imaginée,
de sa vieillesse et de sa décrépitude anticipée.
Partout certes, mais très fort chez nous.
Or tout naît, croît, culmine puis décroît, dépérit et s'efface...
Décidément, Senghor et le maître avaient bien raison.
Enerzine aussi.
Et le pire à craindre est à venir,
quand tout s'effritera.
jeudi 6 mars 2008
Emotionneg'
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire