entre jouissance et création.
Nous sommes consommateurs par essence,
ne serait-ce que de l'air que nous respirons.
Nous sommes pris dans la temporalité
du besoin le plus vital au plus futile.
C'est le champ-libre-arbitre.
La question est alors de savoir
quelle part du pouvoir de création
nous décidons d'exercer,
quels moyens nous voulons nous octroyer!
Je crois, je ressens profondément pour ma part
que le but, le destin de chaque génération
est de surpasser la précédente:
en ce qui nous concerne, c'est l'évidence même.
En ce qui me concerne je relève le défi.
Pour ce faire ma base est large:
mère, grand-mère, tatie, tantes, grandes tantes
père, oncle (second père) et grand-père
nous ont comblés de leur affection,
ont été des exemples forts, mens et corpus,
ô combien structurants.
De la fierté, sans même y songer.
Leur héritage d'amour
c'est cette liberté de pouvoir penser librement,
d'agir en harmonie avec soi
et surtout avec passion pour ce que l'on a décidé.
Aucune chaîne à traîner,
ni rancœur à colporter.
Merci.
Grâce à eux, pouvoir apprécier
et transmettre un goût pour des choses simples
pour des valeurs comme la parole donnée, le respect,
le bien, le beau dans l'infime...
quel privilège extraordinaire!
mardi 4 décembre 2007
d'équilibre
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