Nous ne les voyons pas, mais elles coulent en permanence:
Imaginons que nous ayons à tuer par balle
ou égorger nous-mêmes
les animaux dont sont extraites les viscères et les carcasses dont
l'équarrissage nous donne nos pièces de boucherie quotidiennes!
N'y réfléchirions-nous pas à deux fois avant d'engloutir la bouchée?
Ce ne sont pas des tranches d'une "mère viande" sous perfusion
que l'on couperait à intervalles réguliers,
mais les organes d'êtres bien vivants, d'êtres sacrifiés par d'autres
au nom d'habitudes dont nous découvrons tous les jours la nocivité.
lundi 21 janvier 2008
Les Rivières Pourpres
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